Souvenirs de fessées 3 sur 3
Depuis, j’ai toujours voulu retrouver les sensations de cette première véritable expérience, que j’ai cherché à prolonger par des rencontres multiples de membres du Groupe Clef, devenu depuis Club Spk. Je me suis fait souvent fesser, avec des bonheurs divers, et cet exercice est alors devenu pour moi central. Toute occasion était bonne. Un soir, dans un lieu de drague le long du canal Saint-Martin, un mec qui avait dû me sentir me croise, se retourne, et me dit « passe-moi ta ceinture et baisse ton froc ». Subjugué, j’ai obéi sans même réfléchir, j’ai laissé tomber mon pantalon de toile et, appuyé à un arbre, j’ai reçu une sacrée cinglée qui m’a singulièrement orienté vers les dérouillées au ceinturon. Mais ce qui m’avait excité encore plus, c’est que d’autres mecs regardent la scène en se branlant et en s’exclamant « oui, vas-y, plus fort, mate-le ! ». Des anecdotes comme celle-ci, j’en ai des centaines… Et mon expérience va du plus soft au plus hard, avec une séance à la baguette qui m’a laissé marqué pour des semaines, et que je n’ai donc pas renouvelée.
Et puis les années ont passé, mais aujourd’hui, à 78 ans, j’en ai toujours aussi envie, d’autant que j’ai toujours des fesses très fessables, bien entretenues par toutes les fessées reçues, et que je continue de me les faire tanner avec plaisir quand je peux rencontrer un bon fesseur qui soit au niveau de mes souvenirs, pas si évident que ça à trouver.

Souvenirs de fessées 2 sur 3
Au début, j’ai bien essayé de me débattre, mais il me bloquait les cuisses de tout son poids, de sorte que malgré mes efforts pour me dégager quand il a commencé, je ne pouvais pas vraiment bouger. J’étais sidéré par la situation, totalement inédite et inattendue pour moi, et par la sensation brûlante des claques manuelles, dont la rapidité augmentait, en même temps que la force de leur application, et dont le son allait marquer ma mémoire à tout jamais. Mais petit à petit, avec l’échauffement, et comme il savait bien y faire sur la durée, j’ai fini par me rendre compte que j’y prenais du plaisir. En même temps, mes fesses devenant brûlantes, leur chaleur diffusait petit à petit dans tout mon bas-ventre, et mon sexe se dressait et se durcissait au fur et à mesure que la douleur augmentait. J’ai alors lâché prise, et je me suis soumis à lui sans plus tenter de gigotter. Ma réticence du début était devenue une sorte de complicité. Quand il a jugé que j’avais eu ma dose, il m’a relevé la taille et m’a enfoncé petit à petit son énorme braquemard de 25 cm de long et de 6 de diamètre, puis m’a limé longuement en continuant à me donner de grandes claques sur les fesses, jusqu’à ce qu’il se vide en moi. « Maintenant, barre-toi ». Le hasard a fait que malheureusement on ne s’est jamais revus. C’est dommage, car j’aurais beaucoup aimé renouveler l’expérience et revenir me soumettre à lui.

Souvenirs de fessées 1 sur 3
Mon expérience de la fessée remonte à ma petite enfance, où la moindre vétille était pour mon père, jusqu’à mes 13/14 ans, prétexte à me mettre cul nu pour me donner de violentes fessées à la main. Je pense que c’était pour lui une manière de se défouler après sa journée de travail. Dans les dernières années, je m’efforçais avant tout de ne pas bander devant lui, mais dès que la séance était terminée, je cachais comme je pouvais l’état d’érection que cela me procurait.
Je n’ai pris intérêt à être volontairement fessé par des hommes que beaucoup plus tard, vers la trentaine, à la suite d’un évènement fortuit. Dans un dépôt de matériel de construction, j’ai rencontré un grand mec avec un air autoritaire qui ne m’avait pas frappé de prime abord, mais qui aurait dû m’alerter. Mais ce qui m’avait fait flasher, c’est la taille exceptionnelle de son sexe. « T’as envie que j’te la mette, hein, tu viens chez moi ? Tu me suis ! » Une fois arrivés, il me fait entrer dans sa chambre et m’ordonne de me mettre à poil et de m’allonger sur le ventre sur le lit. Bon, je me dis, il veut m’enculer direct, et je m’exécute. De son côté, il s’est déshabillé et viens s’agenouiller sur mes jambes, et alors, sans plus me prévenir, il m’administre une fessée magistrale de près d’une demi-heure, avant de me pénétrer à fond.
En fait, je pense que j’ai compris dès la première claque ce qui était en train de se passer, et que je ne voulais pas que ça continue, car cela me rappelait trop les mauvais souvenirs de mon enfance et de mon père. Mais en même temps j’étais dans un tel état d’excitation sexuelle, venu là pour me faire baiser par un organe hors norme, que j’étais prêt à tout pour que cela se réalise.

Ma 1ère longue fessée initiatique!
J'avais 29 ans, mon fesseur avait 30 ans!
C'était il y a 15 ans, mais je m'en rappelle comme-ci c'était hier!
Ce charmant fesseur, est venu m'initié à la fessée cul nu!
Il a commencé à me fesser avec le pantalon, 5 minutes plus tard, il me baissa mon pantalon!, il me fessa avec le slip et encore 5 minutes plus tard,il me baissa mon slip et me metta une très longue et intense fessée cul nu avec force progressive!
Toutes les 5 minutes, il monta graduellement sa force sur mes fesses, et sur la raie du cul, aubout de 20 minutes, j'étais fait pour une longue fessée cul nu sévère et au bout de 20 minutes plus tard, une longue fessée cul nu très sévère! Il fut très agréablement surpris par moi! Il me dit ceci: "Tu es un très bon fessé mon petit Sébastien! Tu es un garçon très attachant!" Ce fut pour lui comme pour moi, une très longue fessée cul nu MEMORABLE!!!!

histoire vécue , 2ème partie suite et fin :
Quand cela s'arrêta , me relevant , je fus envoyé au coin slip et fut tombant sur mes pieds et mains sur la tête ! Cela dura encore 20 longues minutes , c'était probablement un adepte des 20 mn de timing pour chaque phase de ses plans....et le cul cuisant , au coin 20 mn , c'est long ! Au terme de ce nouveau délai , la séance continua en étant remis à nouveau en équilibre sur sa cuisse , avec un nouveau type de correction puisque pendant 20 nouvelles minutes il prit un martinet pour continuer sa mission. Puis , pour terminer la séance il mit un CD de Wagner très enflammé et tandis que je fus mis à genoux par terre , je reçus 20 coups de paddle en bois bien dur pendant un temps que je ne comptais plus mais qui pouvait approcher encore les 20 mn car il prit son temps , accompagna bien la musique et claqua lourdement à chaque fois mes fesses bien rouges déjà !!!! Cassé , cuisant , reculotté par lui comme pour enfermer sa fessée dans mon boxer afin que ça continue à chauffer , il me reconduisit dehors et remontant dans mon véhicule, j'eus quelques difficultés à m'asseoir derrière mon volant . Je ne suis reparti qu'au bout de quelques minutes car , sonné , il était nécessaire de reprendre mes esprits pour conduire et trouver mon chemin de retour ! En effet avec l'aller en surexcitation , j'avais peu mémorisé le trajet parcouru ! Durant ce retour , je pensai à ma réunion professionnelle du lendemain au cours de laquelle , intérieurement je ressentirais mes fesses cuisantes , avec la honte d'imaginer que si mes collègues et interlocuteurs savaient ce que j'avais vécu ils auraient une drôle d'opinion de moi ....Je passai quand même une nuit profonde , étant épuisé par la correction en règle subie ce soir là !......

Début d'histoire vécue, 1ère partie :
l y a dix ans en arrière ,j'avais un contact avec un ami d'ami qui m'avait annoncé qu'il était fesseur . Je fus tenté par l'expérience et lors de la prise de rendez-vous pour notre rencontre , il m'a demandé de passer le prendre pour aller ensuite à son domicile. Je passai le prendre et durant tout le voyage en voiture , tandis que je conduisais , il posa sa main sur ma cuisse et m'expliqua que je méritais une cuisante fessée en citant et développant quelques exemples de fessées qu'il avait données.La trajet dura 20 bonnes minutes durant lesquelles j'étais excité au possible car les mots pour moi ont une influence importante sur la libido. Arrivé à son domicile, il mit un cd de Mickael Jackson, très rythmé , avec comme un bruit de claques saccadé , en accompagnement ,produit par le batteur de l'orchestre. Puis , posant le pied sur un tabouret ,il me fit me plier sur sa cuisse pour commencer la fessée. Le son du cd , outre le rythme qui permettait d'accompagner les claques du fesseur,était destiné aussi à étouffer tout bruit en dehors de l'appartement. La fessée à la main ,ainsi bien rythmée fut longue et assez cuisante. Mais elle prit une tournure encore plus exceptionnelle quand au bout de 20 bonnes minutes , mon fesseur , toujours avec un pied sur un tabouret et moi plié sur sa cuisse me fit me remonter un peu plus sur sa cuisse de telle sorte que j'étais en équilibre dessus , mes pieds ne touchant plus terre , et devant , mes mains se cramponnant à son mollet pour garder la position. Ainsi désorienté et en équilibre plus ou moins stable , il reprit une vive fessée à la main et de plus en plus allègrement. Cela dura encore une bonne vingtaine de minutes qui parurent une éternité à se cramponner au mollet du fesseur et cela était assez humiliant de se trouver ainsi totalement à la merci du fesseur!